Proverbe Suédois.
Et Norvégien. Et nordique. Et de tous les endroits où il fait froid. Et où on ne s’arrête pas de vivre pour autant !
Mais plein de bon sens.
En effet, cette semaine, pour la première fois depuis plusieurs mois, les températures ont frôlé les 0 degrés et les gelées. Du moins chez moi, non loin de Paris, et il fallait dégeler sa voiture (c’est la qu’on apprécie le vélo).
Depuis quelques jours ces températures ont d’ailleurs rapidement chuté, et je me suis retrouvé certains matins bien grelottant malgré mes vêtements « d’automne ».
Car oui, c’est l’automne et le cycle irrémédiable de la nature fait son chemin, c’est bientôt l’hiver.
Mais autour de moi, les gens continuent de s’habiller comme en été : petits t-shirts et jupes pour les filles, vestes légères pour le haut, et comme variable d’ajustement le chauffage du bureau ou de la maison qu’on monte à fond, faisant fi de tous les discours sur le réchauffement climatique et le gaspillage d’énergie qu’il n’est pas possible d’ignorer si on a un minimum de jugeote.
Mais apparemment si.
C’est le moment où je commence donc mon combat tel un gourou qui essaierait de convaincre et embrigader ses futurs disciples:
Couvrez-vous bordel !
Oui, je m’emporte rapidement lorsque j’évoque ces sujet, mais j’avoue avoir du mal chaque année quand je vois les gens mettre le chauffage à fond au lieu:
- Se couvrir (c’est logique mais pas pour tout le monde)
- S’habituer: au bout de quelques jours certes légèrement inconfortable, votre corps va s’adapter.
C’est donc ma litanie d’octobre qui commence, et chaque année je repars au combat, tel un guerrier viking à l’aune de ses nouvelles conquêtes !
(Bon, dans le prochain article on parlera techniques pour ne pas avoir froid, comment s’habiller, se couvrir, pour ne pas ressembler à un bonhomme Michelin, tout en étant classe – ou pas)
[…] protégez. Personnellement j’ai horreur de la pluie. Si le froid ne me dérange aucunement (il n’y a pas de mauvais temps, que des mauvais vêtements), c’est autre chose avec la pluie. Même si une fois que je cours ça m’embête moins, […]