L’hiver approche à grand pas (en fait il est là je dirais) et les jours raccourcissent fortement (ils sont même super courts), et avec eux la température, qui dégringole (moi j’aime bien, mais franchement des fois ça pèle).

Si vous partez courir votre sortie longue, il n’est donc pas rare de vous retrouver dans la pénombre rapidement en fin de journée, et la fraîcheur (le froid?) va rapidement vous rappeler que la saison est froide et que vous auriez dû vous couvrir : c’est ainsi la dernière fois que vous sortez courir avant le printemps !

Vous êtes tenté de rester à la maison au coin du feu? C’est mal !

Pourquoi continuer la course à pieds en hiver ?

1. Parce que sinon vous allez perdre tous vos acquis

Ces kilomètres que vous avez parcourus les mois précédents, qui vous ont vu accroître vos qualités de coureur, votre VO² Max, etc, vous ne voulez pas tout reprendre à zéro?
Alors tenez-vous un rythme de 3 fois par semaine, au moins 30 minutes par séances, et si vous avez l’occasion d’aller en salle ou faire du complément avec de la PPG, foncez !

2. Parce que vous n’allez pas (trop) transpirer

Bein oui, j’ai tendance à vite transpirer, et en hiver, je peux me couvrir un peu plus, ne pas avoir trop froid, et bien profiter. Bon, il faut gérer les vêtements et les couches, mais ça, j’en reparle plus tard.

3. Parce que courir dans la nuit noire c’est marrant

Les perceptions changent, les distances ne sont plus les mêmes, les bruits sont amplifiés, et vous avez l’impression d’être seul au monde, et des fois entourés de monstres et autres bizarreries. L’imagination est à son paroxysme !

4. Parce que le froid va vous faire travailler plus

Oui, c’est peut-être mon côté maso, mais je pense que pour progresser, il faut habituer son corps aux extrêmes. De la même manière que par grande chaleur j’essaye d’aller courir (en adaptant mon rythme), par grand froid j’essaye aussi de sortir, ce qui permet à mon organisme de s’habituer au froid.

5. Parce que vous serez content de rentrer chez vous vous blottir au coin du feu, le sentiment de devoir accompli

Vous allez vous dire « je l’ai fait », vous serez bourré d’endorphines, et vous ne culpabiliserez pas devant le petit chocolat de Noël qui vous regarde tous les soirs quand vous êtes devant la télé !